En partenariat avec le Wolf Pack FC présidé par Adil Rami, l’Olympique de Marseille est le premier club de Ligue 1 à avoir entamé une collaboration avec une formation de Kings League. Un accord qui répond aux objectifs du club phocéen d’élargir ses audiences. Décryptage.
Nouer des collaborations avec les acteurs de la Kings League semble être une stratégie gagnante pour attirer l’attention des nouvelles générations. Après avoir connu un vif succès sur différents territoires européens et latino-américains, cette nouvelle forme de football imaginée par Gerard Piqué semble avoir déjà trouvé sa place en France. Pour la première journée de la version inaugurale hexagonale disputée le 06 avril dernier, plusieurs centaines de milliers de personnes se sont connectées aux différentes plateformes de streaming pour suivre en direct les performances des huit formations dirigées par de célèbres Youtubeurs ou (d’anciennes) gloires du ballon rond.
L’Olympique de Marseille ne s’est ainsi pas trompé en initiant en amont de ce lancement un partenariat avec le Wolf Pack FC, une des huit équipes participant à cette première édition française et présidé par Adil Rami, ancien joueur du club phocéen.
« La Kings League est en pleine expansion, attire un public jeune, correspond à un tournant digital que le monde du football est en train de prendre. Le rapprochement avec Adil Rami, supporter de l’OM, s’est fait naturellement, notamment au vu de son passé commun avec le Président Pablo Longoria à Valence » nous indique-t-on au sein du club phocéen pour expliquer la genèse de cette collaboration avec le Wolf Pack FC.
Parmi les grands axes de cet accord, les équipes du Wolf Pack FC auront notamment accès aux installations de l’Olympique de Marseille pour produire des contenus et alimenter leurs canaux digitaux. Les joueurs du Wolf Pack FC bénéficieront d’un Media Day au Centre Robert Louis-Dreyfus dans le cadre de cet accord. De quoi mettre en valeur les infrastructures du club olympien auprès d’une communauté jeune, dynamique et fortement engagée sur les réseaux sociaux.
Des retombées déjà positives pour l’OM
