Ayant développé une méthodologie à succès, Adjan Business School ne cesse d’étoffer son offre de formations pour s’adapter aux nouveaux enjeux des organisations sportives. Avec un mot d’ordre : proposer à ses étudiants un parcours et des services collant au plus près des problématiques de terrain. Décryptage.
« Contrairement aux autres écoles que j’ai fréquentées dans mon cursus scolaire généraliste, les enseignements sont davantage axés sur la pratique plutôt que la théorie. » La philosophie d’Adjan Business School est rapidement résumée par Cédric Goubel, à la fois étudiant au sein de l’établissement champenois et Responsable Marketing & Communication en contrat d’apprentissage à l’US Gravelines, club de R1 des Hauts-de-France.
Proposer des cursus en cohérence avec les problématiques de terrain pour former au mieux le personnel administratif et commercial des clubs semi-professionnels et amateurs est le défi que cherche à relever Adjan Business School. Plusieurs formations en alternance, de niveau CAP à Bac+3, pilotées par des directeurs de programme expérimentés dans l’univers du sport, sont proposées dont notamment Chargé de développement de structure sportive, Employé administratif et d’accueil de structure, Chargé d’activation de marque ou encore Manager de structure sportive.
Adjan Business School mise sur l’alternance pour que ses étudiants mettent à exécution sans délai les compétences apprises. Plusieurs centaines de clubs et d’entreprises partenaires accueillent les élèves d’Adjan BS via un contrat d’apprentissage, un contrat de professionnalisation ou en CDI « alternant ». Concernant le rythme, les apprentis suivent 2 demi-journées de cours par semaine – en présentiel au sein du nouveau campus inauguré à Reims ou à distance – et passent 4 journées en structure d’accueil soit 28 heures.
Des recettes qui fonctionnent et qui profitent aux structures accueillant les apprentis d’Adjan BS. « Grâce à ma formation, je suis beaucoup monté en compétence sur la partie commerciale mais aussi en communication digitale. Les équipes d’Adjan nous donnent de précieux conseils et des trames à suivre pour accroître la visibilité d’un club sur les canaux numériques ou encore transformer un prospect en partenaire commercial. Les conseils portent leurs fruits à notre échelle » nous explique ainsi Cédric Goubel.
Depuis son arrivée au sein de l’US Gravelines, Cédric Goubel est parvenu à arracher 25 signatures de partenaires, soit environ 5 par mois ! Un décollage qui est dû aux acquis enseignés par l’équipe pédagogique d’Adjan mais aussi aux services mis à disposition par le groupe. « Intégrer Adjan, cela aide à développer le portefeuille de partenaires de son organisation sportive. A travers ses différentes activités, le groupe a développé un gros carnet d’adresses. Un carnet d’adresses qui est partagé : cela nous permet de récupérer des contacts et de rencontrer de potentiels prospects » nous explique Cédric Goubel.
La RSE au cœur des nouvelles formations
Adjan Business School sait faire évoluer ses programmes en fonction des nouvelles problématiques dont font face les organisations sportives. A la rentrée prochaine (ndlr : 17 avril), Adjan BS proposera une nouvelle formation baptisée Chargé de développement de structure option RSE coconstruite avec Oxygène CSR, cabinet de conseil aidant les organisations sportives à bâtir un modèle économique responsable et collaborant avec plusieurs fédérations de référence – Fédération Française de Cyclisme, Fédération Française d’Athlétisme, Fédération Française de Judo… – et des marques investissant dans le sport à l’image de la Maif ou encore le Crédit Mutuel.
« Dans les entreprises, il y a de plus en plus de collaborateurs qui sont formés aux enjeux environnementaux et sociétaux. En revanche, les acteurs du sport rencontrent encore des difficultés à bien répondre aux sollicitations et plus globalement aux enjeux liés à la RSE. D’où l’importance de faire monter en compétence les collaborateurs des organisations sportives à ce sujet » fait remarquer Laurent Marchal, CEO d’Oxygène.
Des enjeux qui ne vont cesser de croître y compris au niveau amateur. « Les critères d’éco-conditionnalité vont prendre de plus en plus de poids dans les politiques de subventions attribuées aux associations sportives. Il y a aussi de nouveaux enjeux réglementaires au niveau français et européen avec par exemple la nouvelle directive CSRD. Cela va accélérer la volonté des sponsors de mettre en place des activations et des éléments de communication en lien avec la RSE concernant leur implication dans le sport » poursuit Laurent Marchal.
Au lieu de subir les transformations environnementales et sociales au rythme des injonctions réglementaires et des sollicitations des parties prenantes, les structures sportives se doivent d’être proactives sur le sujet afin de porter un projet RSO en adéquation avec leur histoire et leur ADN. D’où l’intérêt d’intégrer des ressources formées à ces enjeux à leur organigramme. « Chaque club ou fédération doit désormais être en capacité de déployer, en fonction de ses propres valeurs et convictions, le plan et la stratégie RSE / RSO qu’il a envie de porter. Une fois que cette stratégie est bâtie, il est alors possible de proposer des opérations aux sponsors et autres parties prenantes. Mais la relation ne doit pas être inversée car sinon elle est réalisée sous la contrainte. Cela va se faire alors à l’opportunité et il n’y aura aucune cohérence d’ensemble » résume Laurent Marchal.
La formation délivrée par Adjan Business School permet aux apprentis de bénéficier de tous les outils pour bien saisir les enjeux et élaborer une feuille de route en conformité avec les caractéristiques de leur organisation sportive. « La formation délivre assez de matière pour ensuite travailler et construire en autonomie son plan d’action. Elle va de la fresque du climat jusqu’au reporting extra-financier. Cette formation est proposée de façon complémentaire au cursus chargé de développement. Car il faut que la dimension économique liée à l’impact de la RSE soit bien prise en compte. Cela doit être perçu comme un asset permettent de délivrer un véritable ROI derrière cet engagement » détaille Laurent Marchal.
Enfin, si elle s’adresse principalement aux étudiants souhaitant travailler dans le milieu du sport ou encore aux salariés déjà en poste dans les services administratifs et/ou commerciaux ; les sportifs peuvent également porter un réel intérêt à cette formation. « En termes de réputation et de communication, il y a un intérêt pour les athlètes à savoir prendre la parole à bon escient sur de tels enjeux. C’est un véritable asset en termes d’image. Et cela pourra les préparer à une possible reconversion s’ils sont suffisamment sensibles au sujet en devenant à terme Chef de Projets RSE ou Responsable RSE de leur organisation sportive » nous indique alors Laurent Marchal. De quoi contribuer à la montée en puissance générale de tout l’écosystème sportif sur les grands enjeux de société.
Cet article a été rédigé par les équipes rédactionnelles d’Ecofoot en partenariat avec Adjan Business School. Pour en savoir plus sur les formations délivrées par Adjan Business School et les futures dates de rentrée : https://www.adjan.fr/adjan-business-school/