Les réseaux sociaux n’ont cessé de gagner en importance dans la vie des clubs professionnels au cours de la dernière décennie. Une tendance à laquelle n’a pas échappé l’Orléans Loiret Basket. Le club de Betclic Elite a su faire évoluer sa stratégie éditoriale au fil du temps pour l’adapter aux spécificités de sa discipline. Une politique qui porte ses fruits puisque le club orléanais parvient désormais à bien engager sa communauté sur les différents canaux sociaux. Lors d’un entretien accordé à Ecofoot, Florent Thibault, Responsable Marketing de l’OLB, décrit les grands piliers sur lesquels repose la stratégie Social Media du club.
Quels sont les principaux objectifs poursuivis par l’Orléans Loiret Basket à travers l’animation de ses comptes sur les réseaux sociaux ?
Les réseaux sociaux constituent désormais la vitrine du club. C’est devenu le premier voire le principal point de contact entre le club et ses communautés au fil du temps. La plupart de nos nouveaux spectateurs découvrent nos activités sur les réseaux sociaux avant de sauter le pas et de venir assister à une de nos rencontres dans notre salle.
Les réseaux sociaux se sont imposés comme des outils indispensables pour renforcer la notoriété du club au niveau local, national voire international. Ce sont des vecteurs de fidélisation de nos communautés mais ils nous aident également à toucher des nouvelles audiences. Des audiences que nous cherchons par la suite à transformer en spectateurs ou en partenaires pour la cible B2B.
Quels indicateurs suivez-vous pour piloter votre stratégie de contenus sur les réseaux sociaux ?
Au club, nous avons construit un tableau de suivi que j’actualise chaque semaine. Cela permet de suivre en un coup d’œil notre évolution concernant notre nombre d’abonnés ou encore notre niveau d’engagement sur les différents médias sociaux.
« Les réseaux sociaux se sont imposés comme des outils indispensables pour renforcer la notoriété du club au niveau local, national voire international »
La Ligue Nationale de Basket nous épaule bien dans notre travail de monitoring car elle nous fait régulièrement parvenir des tableaux de bord. Par exemple, nous avons dernièrement reçu les performances pour le mois d’octobre avec des statistiques sur le nombre de publications par club, le nombre d’impressions, le nombre de vues des vidéos… Cela permet de se situer dans la hiérarchie nationale : c’est très intéressant.
Au niveau opérationnel, comment animez-vous les différents comptes du club sur les réseaux sociaux au quotidien ?
