L’engagement d’Orange auprès du sport amateur, à travers ses partenariats conclus avec les grandes fédérations du pays, ne date pas de la crise sanitaire. Néanmoins, en cette période troublée, le géant français des télécommunications a décidé de renforcer ses dispositifs pour épauler le sport amateur français. Un mouvement qui perdurera au-delà de la crise sanitaire. Lors d’un entretien accordé à Ecofoot, Jean-Eric Naon, Directeur Sponsoring Sportif d’Orange France, revient sur les différentes initiatives mises en place ces derniers mois au sein du sport amateur, notamment à travers les partenariats conclus avec la FFF et la FFR.
Que recherche Orange en s’impliquant dans le développement du sport amateur français ? Une activation du partenariat au sein du monde amateur constitue-t-elle un prérequis indispensable pour Orange pour finaliser un accord de sponsoring avec une fédération ?
Orange est très engagé dans le sponsoring en France depuis près de 25 ans, notamment autour du football et du rugby, nos deux territoires principaux. De nombreuses actions à destination des jeunes pratiquants ont été mises en place depuis longtemps, comme l’Orange football Challenge à la mi-temps des matchs de Ligue 1 ou l’Orange Rugby Challenge, qui existent depuis 22 ans déjà.
La nouveauté pour Orange autour du sport amateur, consiste à enrichir les actions que l’on mène depuis toujours, en apportant plus de sens aux initiatives mises en place sur le terrain. En plus d’apporter du rêve aux jeunes pratiquant(e)s, en leur faisant vivre des moments uniques sur les terrains ou en rencontrant les stars du foot et du rugby, on s’engage à les sensibiliser sur des sujets qui nous sont chers, comme les excès et les risques du numérique notamment. Nos actions consistent à encourager la pratique sportive au détriment de trop de temps passé sur les réseaux sociaux par exemple. On souhaite également sensibiliser les plus jeunes aux risques du cyber-harcèlement ou à certaines pratiques négatives que l’on peut rencontrer sur internet. Orange est un acteur très présent dans le sport, et à ce titre, nous nous devons d’être également très engagés et de véhiculer des valeurs positives auprès des plus jeunes.
La crise sanitaire risque de laisser de lourdes séquelles au tissu associatif sportif français. En cette période difficile, avez-vous cherché à soutenir encore davantage les clubs amateurs de football et de rugby ? Avez-vous mis de nouvelles actions en place ?
