BCM Gravelines
Interview

BCM : comment garder le cap (commercial) dans la tempête ?

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Grâce à une politique volontariste, le BCM Gravelines Dunkerque est parvenu au cours des dernières saisons à développer ses recettes commerciales. Néanmoins, l’éclatement de la crise sanitaire a coupé le club nordiste dans son élan, l’obligeant à réorganiser ses activités pour se plier aux contraintes. Le club conserve toutefois des motifs d’espoir pour réenclencher un nouveau cycle de croissance en sortie de crise. Lors d’un entretien accordé à Ecofoot.fr, Romuald Coustre et Julien Bollengier, respectivement General Manager et Directeur Marketing & Communication du BCM Gravelines Dunkerque, reviennent sur la stratégie commerciale du club nordiste et les actions dernièrement mises en place pour lutter contre les méfaits de la crise. Propos recueillis par Anthony Alyce et Karim Ghariani.

Lors d’une saison classique de Jeep Elite, combien d’annonceurs réunit le BCM Gravelines Dunkerque dans son réseau de partenaires ? Certains secteurs d’activité sont-ils mieux représentés que d’autres ?

Lors d’une saison classique de Jeep Elite, nous réunissons environ 200 entreprises partenaires. Aucun secteur d’activité n’est surreprésenté : nous accueillons des entreprises provenant du BTP, de l’industrie, de la restauration rapide… Nous proposons une offre diversifiée, aussi bien au niveau des hospitalités que de la visibilité. Et notre stratégie est assez claire : nous cherchons à attirer le maximum d’entreprises dans notre réseau de partenaires. Toute entreprise en quête de visibilité/notoriété nous intéresse. Nous ne nous fixons aucune limite : chaque appel entrant est considéré et traité avec importance.

Cette stratégie commerciale nous a plutôt réussi. Avant l’éclatement de la crise, nous parvenions à enregistrer une croissance de nos recettes commerciales lors de chaque saison. Pourtant, nous devons surmonter différents obstacles dans notre travail de développement. Les résultats sportifs lors des dernières saisons n’ont pas été très bons. De plus, nous exploitons l’une des plus petites et anciennes salles de France. Enfin, notre zone de chalandise est relativement étroite : nous sommes à proximité de la frontière belge et en bord de littoral. Nous pouvons néanmoins nous appuyer sur la forte notoriété du BCM dans sa région. Notre croissance est la preuve d’un vrai dynamisme économique et commercial manifesté par les équipes du club.

Quelle est la zone de rayonnement du BCM Gravelines ? Les entreprises partenaires proviennent-elles exclusivement de l’agglomération de Dunkerque ?

BCM : comment garder le cap (commercial) dans la tempête ?
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